L'école reste un fabuleux espace d'apprentissage pour nos enfants, elle détient une grande partie des connaissances nécessaires pour qu'ils deviennent des adultes autonomes, capables d'exercer un métier, elle leur offre une véritable chance que n'ont pas tous les enfants du monde.
Pourtant elle est décriée, et semble générer beaucoup d'inégalité, de dépression, d'abandon parfois de la violence.
Sa mission, aujourd'hui comme hier, reste la transmission de l' "avoir", avoir des connaissances, avoir des bons points, avoir un diplôme mais pas de transmettre de l' "être", être bien, être épanoui, être heureux et j'ajouterais, être polyvalent.
Au début de l'école pour tous, la seule acquisition de connaissances était suffisante pour faire carrière, avoir une vie satisfaisante, pour beaucoup c'était une motivation suffisante.
D'autre part, un jeune qui n'avait pas prolongé ses études, pouvait facilement trouver un travail dans la grande industrie, pas très séduisant mais efficace pour vivre et élever une famille.
On peut considérer qu'à cette époque, le premier besoin fondamental de l'être humain était bien assuré : la sécurité de l'existence.
Les temps ont changé, aujourd'hui, avoir un diplôme ou une formation n'est plus une garantie d'emploi, et nos jeunes baignent dans un temps de déprime, de crise, un milieu ambiant défaitiste même parmi les familles les mieux nanties.
Pour y faire face, l'école à bien souvent surinvesti dans la compétition, meilleures notes, meilleures classes, meilleurs cours... Que les meilleurs gagnent et les moins bons perdent, se démotivent, absentéisme, échec, violence même sont monnaie courante, le burnout, la démotivation et le raz le bol des enseignants aussi.
Comment retrouver l'espoir, l'engagement la réussite et la créativité pour avancer? Et par quoi commencer?
Et si c'était par le développement personnel, dès la petite enfance? Et en quoi la PNL pourrait y contribuer?
Les 5 piliers des fondamentaux de la PNL
Le premier et deuxième piliers concernent ce qui est important pour le jeune, l'enfant
Ce qu'il aime, ce qu'il veut devenir, ses talents, son style de comportement, son style de vie ...
pour les plus jeunes, cette observation incombe aux parents, mais si on l' écoute, un bambin peut très vite manifester ses préférences.
Être vraiment à l'écoute des besoins de nos enfants et les satisfaire dans la mesure du possible, va développer en eux la faculté d'imaginer un avenir positif et nourrir leurs motivations à accomplir les efforts nécessaires pour y parvenir.
En accompagnement, on pourra lui apprendre à définir et clarifier un objectif et comment le réaliser
Le troisième pilier concerne la gestion des états ressources
Avec un point particulier, les marques d'attentions parce qu'elles sont sources d'énergie positive ou négative et indispensables à la survie biologique et psychologique
Le quatrième pilier concerne l'acquisition d'outil de bonne communication.
Apprendre à transformer les difficultés de la communication, les conflits les malentendus en une communication "gagnant gagnant" source d'apprentissages, d'échanges, d'enrichissements réciproques, tout ce qui permet de grandir.
le cinquième pilier
C'est l'évolution, l'ouverture du champs des possibles lorsque l'on met en place ces quatre piliers.
Permettre aux jeunes de découvrir ces outils, c'est leur donner de supers capacités à devenir acteur, créateur de leur vie.
Et en tant que parents, professeurs, éducateurs, acquérir ces compétences de bases c'est le moyen simple et efficace de remplir une noble mission d'éducation positive la seule qui permettra à nos enfants de grandir et de créer leur avenir.
Prochain article
Comment acquérir les outils de la programmation neurolinguistique?
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